18 novembre 2023 - lloir
11 novembre 2022 - ele-pommard-21

Un artichaut à Pommard : la récompense !

En juin 2022, la classe de CP CE1 terminait son projet de classe tablette   » Un artichaut à Pommard » .

Les affiches dans le village proposent cette balade découverte à tous grâce à un QR code qui renvoie sur le site du livret.

Ce projet a retenu l’attention du Centre Beaunois d’Etudes Historiques qui a décerné à la classe le prix  Pierre Joigneaux.

Ce prix récompense des travaux d’élèves en relation avec le patrimoine local.

Le samedi 22 octobre a eu lieu la remise du prix .

Puis chacun recevra son diplôme en classe !

Encore un grand bravo à tous pour ce travail !

 

 

 

9 novembre 2022 - ele-pommard-21

Un artichaut à Pommard le livre

Les enfants de CP CE1 (en 2021-2022) vous présentent le projet final de la classe tablette .

A découvrir ou redécouvrir !

En espérant qu’il vous donnera envie de parcourir le village !

Pour une lecture « en grand format » vous pouvez cliquer sur le petit carré gris. 

 

 

28 janvier 2022 - lloir

femmes et hommes du Néolithique

Les élèves se sont métamorphosés en femmes et hommes préhistoriques. Gravures, dessins rupestres et création de bijoux. L’art pariétal n’a plus de secret !! Pas de dictée à l’époque. La chance ! L’écriture n’avait pas été inventée…

21 novembre 2021 - lloir

La course de la vente des vins

Vendredi dernier, à 13h30, le soleil a transpercé la brume quelques instants pour nous voir courir. Chaque enfant a couru deux kilomètres. Bravo à Margaux qui a fini première. Désolé pour Pierre qui n’a pas pu courir. Félicitations à tous et merci à Audrey Cagni pour ce reportage photos.

 

5 octobre 2021 - lloir

La visite de la cuverie de M et Mme Virely-Rougeot

 

Vendredi dernier, notre classe a eu le plaisir de découvrir une très belle cuverie. Sans dégustation bien sûr !!

Les élèves sont maintenant incollables sur la fermentation alcoolique…

17 décembre 2019 - lloir

Notre conte Africain (suite)

Voici notre conte africain, en entier. Attention aux âmes sensibles, certains élèves ont décidé qu’il finirait mal…

Il y a bien longtemps, en Afrique, près du fleuve Congo, un springbok vivait à proximité d’un village nommé Angouroute, qui signifie, en vieux dialecte local, huttes loin de la route. Ce village était bordé par le majestueux fleuve. Ce springbok, qui s’appelait Bakou et qui avait une robe marron clair avec des taches foncées ainsi que quelques longs poils blancs qui lui faisaient une houppelande, adorait aller gambader dans la savane alentour. Malheureusement, celle-ci était infestée de nombreux prédateurs dont le petit-déjeuner préféré était une cuisse de gazelle.

Par chance, notre héros était protégé de ces terribles animaux par une jolie petite blonde qui avait les cheveux courts et une discrète frange. C’était une fée qui, depuis sa tendre enfance adorait les springboks. En effet, ces derniers lui faisaient penser à des licornes. Elle répondait au doux nom de Jeanne D’rac. Sa voix était si chantante que même les oiseaux siffleurs du fleuve s’immobilisaient quand elle parlait. Parfois, quand elle était très fatiguée, il lui arrivait d’entendre des voix.

Cette charmante petite fée et Bakou aimaient se promener sur les berges du fleuve au crépuscule. Pourtant, ils savaient que le redoutable Souba, un crocodile de sept mètres de long, était à l’affût de la moindre proie passant un peu trop près de ses puissantes mâchoires. En plus, il y avait de nombreux panneaux tout au long de la rive qui indiquaient très clairement «  waka waka bilibo shakira » , qui signifie, comme vous l’aurez sans doute deviné : danger de mort.

Une nuit d’été, Jeanne D’rac fut réveillée en sursaut par d’horribles cris provenant de la savane, près du fleuve. Elle bondit hors de son lit sans même prendre soin de son doudou-licorne en poils de chèvres qui tomba au sol. En effet, Jeanne n’avait qu’une hâte, rejoindre au plus vite les rives dangereuses du Congo pour s’assurer que Bakou n’était pas en danger. En chemin, elle croisa Snif-Snif, un petit cochon qui somnolait derrière un buisson. Elle lui demanda s’il n’avait pas vu son springbok adoré. Snif-Snif lui répondit un étrange « c’est pas nous, c’est pas nous » avant de se rendormir profondément. Furieuse, Jeanne se promit qu’un jour, elle en ferait du saucisson.

Au même instant, tout s’accéléra. A peine, eut-elle entendu des bruits de pas qu’elle était encerclée par les féroces animaux de la savane. A quelques mètres de là, elle pouvait apercevoir des traces de sang au sol tandis que la longue queue de Souba disparaissait dans les eaux sombres et profondes du fleuve. Était-ce le sang de Bakou ? Les prédateurs de la savane et le crocodile étaient-ils alliés ?

Elle n’eut pas le temps de répondre à ses questions : les monstres affamés se rapprochaient d’elle en salivant. Alors, elle ferma les yeux et pensa à quelque chose de joyeux.

C’est-à-dire à des écureuils, des lapins et des petites licornes. Puis elle ouvrit les yeux et chanta de sa douce voix mélodieuse. Au même instant, les prédateurs se transformèrent en d’inoffensifs écureuils, lapins et licornes… Puis elle s’approcha du sang, réfléchit quelques secondes et elle observa les eaux noires du fleuve. Elle imaginait Bakou s’étant fait dévorer sous l’eau par un monstre aux dents acérées. Quelle horrible fin ! Elle referma ses yeux d’où tombaient des perles de larmes. C’est le moment que choisit le terrible crocodile pour surgir du fleuve, la gueule grande ouverte. Snif-Snif, qui n’avait pas dû retrouver le sommeil avec tout ce vacarme nocturne, bondit et eut juste le temps de pousser Jeanne avant que des dents pointues ne se referment sur sa tête, puis d’une deuxième bouchée, sur son corps ! La fée, horrifiée fit quelques pas en arrière et s’éloigna de la rive. Souba en profita pour replonger. Complètement déboussolée, elle courut jusqu’à sa hutte à l’entrée du village. Et c’est là qu’elle aperçut Bakou. Il était blessé et à bout de force. Elle pansa ses plaies et l’allongea chez elle.

Le lendemain, il lui raconta que Souba l’avait attrapé en lui mordant la cuisse et l’avait tiré jusqu’à l’eau pour l’y engloutir. Heureusement, des cris avaient retenti dans la savane, ceux-là mêmes qui avaient réveillé Jeanne. C’étaient ceux du petit cochon qui avait dû faire un cauchemar. Surpris, Souba avait lâché sa prise, et Bakou avait rampé loin de sa gueule. Puis il avait réussi à rejoindre le village. 

Quelques jours après, ses plaies s’infectèrent et il mourut. Alors, Jeanne D’rac le fit enterrer sous un grand baobab. Elle décida ensuite de migrer en France pour devenir bergère…

Elle ne se maria pas et eut beaucoup de petits moutons !

7 décembre 2019 - lloir

Notre conte africain première partie

Nous participons à la création d’un recueil de contes avec les classes qui étaient présentes à la coupe du monde des enfants de balle ovale. Nous devions choisir comme héros le personnage qui illustrait notre panneau lors de  cette compétition.  Il s’agit donc du  springbok, la gazelle sauteuse emblème de l’équipe de rugby sud-africaine.

Un ouvrage sera prochainement imprimé par les élèves du  GRETA de Beaune, avec les noms de tous nos écrivains en herbe.   En exclusivité, voici donc notre première partie, celle où on « plante » le décor…

Il y a bien longtemps, en Afrique, près du fleuve Congo, un springbok vivait près d’un village nommé Angouroute, qui signifie, en vieux dialecte local, huttes loin de la route. Ce village était bordé par le majestueux fleuve. Le springbok, qui s’appelait Bakou et qui avait une robe marron clair avec des taches foncées ainsi que quelques longs poils blancs qui lui faisaient une houppelande, adorait aller gambader dans la savane alentour. Malheureusement, celle-ci était infestée de nombreux prédateurs dont le petit déjeuner préféré était une cuisse de gazelle.

Par chance, notre héros était protégé de ces terribles prédateurs par une jolie petite blonde qui avait les cheveux courts et une discrète frange. C’était une fée qui adorait les springboks et les licornes. Elle répondait au doux nom de Jeanne D’rac. Sa voix était si chantante que même les oiseaux siffleurs du fleuve s’immobilisaient quand elle parlait. Parfois, quand elle était très fatiguée, il lui arrivait d’entendre des voix.

Cette charmante petite fée et Bakou aimaient se promener sur les berges du fleuve au crépuscule. Pourtant, ils savaient que le redoutable Souba, un crocodile de sept mètres de long, était à l’affût de la moindre proie passant un peu trop près de ses puissantes mâchoires. En plus, il y avait de nombreux panneaux tout au long de la rive qui indiquaient très clairement «  waka waka bilibo shakira » , qui signifie, mais vous l’aurez sans doute deviné : danger de mort.

27 juin 2019 - ele-pommard-21

Le lièvre et la tortue

En APC, un groupe d’élèves ( CP CE1 CE2) a travaillé sur la réécriture de la célèbre fable de La Fontaine.

Trois CP CE1 ont mis en voix le texte.

Les décors ont été peints par les enfants aidés de leurs camarades de classe.

Les enfants ont ensuite découvert les robots et leur programmation.

Est arrivée enfin la phase de tournage !

Sandrine Maret, notre enseignante référente au numérique est venue nous aider pour cette réalisation et a terminé le projet par le montage vidéo.

Un grand merci à elle !

Un grand bravo aux élèves pour ce projet de fin d’année !

13 juin 2019 - lloir

Première guerre mondiale

M Jean-Luc Jondot (président de l’historial de l’amitié franco-américaine de Beaune, musée du camp américain) et M Alain Angelone nous ont montrés et expliqués tout le matériel que les poilus avaient sur le dos ( 30 kg.)                   Ils nous ont rappelés les difficiles conditions de vie dans les tranchées tout en précisant le devoir de mémoire qu’il nous faut cultiver pour ne plus jamais se retrouver en conflit. Les anecdotes que les élèves ont retenues :

  • les poilus avaient leur ration de viande (du corneed beef) dans des boîtes de conserve qu’ils ouvraient avec un des premiers ouvre-boîte fabriqué par l’usine Le Singe. D’où l’expression, ils mangeaient « du singe » !
  • les généraux qui avaient été mal inspirés étaient envoyés dans la bureaucratie militaire de Limoges. L’armée se débarrassait ainsi d’eux sans trop faire de vague. Ils étaient donc « limogés » !

Pour finir, M Jondot nous a demandés de lire deux lettres poignantes de son arrière-grand-père, poilu. Puis les élèves ont lu les noms gravés dans le monument aux morts reconnaissant ainsi des noms du village.